Prix de la Biblio

Alex se rêvait biker indomptable, cheveux aux vents, rebelle amoureux… Ne lui reste qu’un mariage raté, un pavillon de banlieue, et ces tatouages sur les bras pour le narguer. Le monde qui soudain s’arrête semble lui offrir une dernière chance. Saura-t-il la saisir ? Un thème éternel, revisité avec sensibilité et dérision par Charles Louis. Découvrez ci-dessous le Prix de la Biblio ou écoutez-le dans la bouche de Frédéric Lubansu et Louise Manteau en cliquant ici.

Tout petit, Charles Louis a attrapé le virus de l’écriture. Une graphomanie intime, presque honteuse, dans une famille où les mots étaient le plus souvent dits haut et fort mais les émotions tues, les sentiments enfouis. Il a rencontré la poésie, le théâtre, et a vécu, un temps, l’aventure du métier de comédien. Chaque instant de pause dans ce monde ultra-rapide, hyper connecté, il le met à profit pour écrire des poèmes, des nouvelles. Alors, le temps de ce premier confinement a été prolifique pour lui, en émotions, en textes, en histoires à imaginer et à raconter. "Alex the snake" est né pendant cette période. Un homme laissé seul s’éveille aux émotions grâce à des mots, des pensées écrites qui sont glissées sous sa porte chaque jour. La chute semble douloureuse mais sur ce palier, Alex peut choisir le sens qu’il donnera à sa vie d’après.

Ce nouveau confinement permettra peut-être aux gens de faire le bon choix pour le deuxième essai d’un monde d’après.

Alex the snake

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